Courte étude biblique pour tous ceux qui prennent plaisir à lire leur bible

Thème : La nécessité d’être sauvé
1. Jésus est venu dans un monde perdu.
2. Le monde est le même qu`à l`époque. Mais il existe une porte de salut,

Actes 2, 37: Après avoir entendu ce discours, ils eurent le cœur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres: hommes, frères, que ferons-nous ?
Actes 2, 38: Pierre leur dit: repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.
Actes 2, 39: Car la promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.
Actes 2, 40: Et par plusieurs autres paroles il les conjurait et les exhortait, disant : Sauvez-vous de cette génération perverse.
(Ce jour-là, 3000 âmes obéirent au message des apôtres! Verset 41)

Nous voyons là un exemple où les gens s’aperçurent de la nécessité d’être sauvé. Comme c’est encore le cas aujourd’hui, il y eut malheureusement des gens à cette époque qui ne se rendirent pas compte qu’ils avaient besoin d’être sauvés. Dieu désire vous sauver. Il a un plan que chaque personne doit accepter et suivre.

Ce problème d’aveuglement spirituel n’est pourtant pas nouveau. Il existait déjà en ces jours-là.

* Les prophètes connurent des temps difficiles: > 2 Rois 17, 13-16 ; Matthieu 21, 32

* Au temps de Jésus c’était pareil:
Ses adversaires les plus coriaces se retrouvaient dans le monde religieux: les pharisiens et les scribes. (Luc 3, 8) C’est des gens qui avaient une religion. La religion ne suffisait pas à l’époque et elle ne suffit pas non plus aujourd’hui! Ils ne se rendirent pas compte qu’ils étaient perdus sans Jésus. Voici l’argument qu’ils avançaient: «Nous sommes juifs, enfants d’Abraham» (Jean 8, 31-59).

L’argument dont l’église de Laodicée se servait pour se justifier était celui-ci: «Nous avons la vérité».Et pourtant ils étaient spirituellement aveugles, sourds et nus et ils étaient en route pour le jugement pourtant ils appartenaient à une «église». Dieu et Dieu seul est juge. (Révélation 3 ; 15-17)

Aujourd’hui encore, beaucoup de personnes ne reconnaissent pas la nécessité d’être sauvées parce qu’elles sont devenues spirituellement aveuglées par leurs péchés. Les gens sont satisfaits par leur vie. Il y a d’autres personnes qui sont religieuses et qui ne mettent leur confiance que dans leur église au lieu de chercher par elles-mêmes la vérité dans la parole de Dieu. Il n’est pas étonnant que plusieurs musulmans disent des chrétiens qu’ils sont des païens à cause de leur façon de vivre. Un châtiment particulier est réservé pour ces chrétiens qui n’y croient peut-être pas, mais cela est bien marqué dans Luc 13, 25-28 etc.

Se prélasser confortablement, ne pas se poser de questions et être religieux est trompeur et conduit à la mort:
Le riche a dit : «Je suis fils d’Abraham » >Luc 16, 19
Le riche construisit des greniers >Luc 12, 18
Pilate : Jean 18, 38
Hérode : Matthieu 2, 13
Jérusalem : Matthieu 23, 37

*L’époque des apôtres:
*Les apôtres ont vu ce problème en leur temps.
*Le jour de la pentecôte, plusieurs personnes leur ont dit: «Vous êtes fous!». Mais certains ont néanmoins cru. > Actes 2, 13 et 41.
*Les gens se moquèrent d’eux à Athènes mais certains crurent: > Actes 17, 32-34
*Ils furent battus en Philippe mais certains crurent pourtant: > Actes 16, 23-24

Important !
L’on doit se demander: Qu’ont enseigné les apôtres en ce qui concerne le salut?
Remarquez bien que dans tous les versets suivants, on retrouvait ce qui suit chez tous les croyants:

L’acte de repentance, le baptême dans l’eau au nom de Jésus, et le baptême du Saint-Esprit. Regarde dans ta bible : Actes 2, 37-38; 8, 12-17; 9, 17-19; 10, 44-48; 19, 3-6; Jean 3, 3-7. Il n’y a pas d’autre chemin pour être sauvé et il n’y a pas d’autre évangile! Galates 1, 6-9; Dieu sauve qui Il veut et ce sont ceux qui obéissent à Son évangile et qui font Sa volonté! Tu ne peux sauver personne, mais il faut que tu te sauves toi-même et tu peux le faire. rw.